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Ce qu’il convient de retenir de ce Premier ministre, c’est qu’il avait cru aux ‘’A son actif, il faut rappeler qu’il avait dit que leurs enfants étudient à l’étranger et que eux ils commandent aux pères de nos enfants et un jour leurs enfants reviendront diriger ceux qui sont restés au Mali.

Ensembles donnons-nous les mains pour sauver l’école malienne car l’avenir d’un pays repose sur son éducation.

Depuis plus d’une année, les syndicats de l’enseignement observent une série de grèves qui paralysent l’année scolaire. Il incombe à nous tous de bien veillé sur l'éducation de nos enfants car l'avenir leurs appartiennent donc soyons de bonnes fois et luttons pour une bonne éducation à nos enfants pour un futur meilleur pour nous tous. Aussi, il convient d’arrêter sans délai les financements occultes dont bénéficient ce que les politiciens aiment appeler ‘’Le constat est amer: depuis l’avènement de la troisième République, l’argent du contribuable malien s’évapore pour des causes ineffables, non avouables.
Ce qu’il convient de retenir de ce Premier ministre, c’est qu’il avait cru aux ‘’vertus’’ de la violence pour juguler la crise scolaire qui secouait l’école malienne. Il a le plus souvent été réduit à faire le « pompier ».En outre, les problèmes d’administration  sont légions : C’est l’une des conséquences de l’éducation de masse!!! Ces concertations feront totalement abstraction de la moindre image du FMI, de la BM et de la France coloniale qui ne peuvent œuvrer pour la bonne santé de notre système éducatif national parce que spoliatrices de notre société et de sa diversité culturelle.Ainsi, il sera impérieux de soustraire l’école malienne des Programmes d’ajustement structurel (PAS), sans quoi il ne peut y avoir d’issue favorable pour notre système éducatif.Il faut donner absolument réduire substantiellement le train de vie d’une bourgeoisie nationale arrogante qui vit de la sueur et du sang du peuple malien.

Il faut qu'ils soient de la bonne fois sinon on n’avancera pas. En tout si rien n’est fait rapidement pour ramener les enseignants dans les classes afin que les enfants maliens se forment, il faut craindre pour l’avenir de ce pays. Alors sauvons l’école malienne. Ils exigent l’augmentation immédiate de leur grille de 180 points, rétroactivement, depuis le 1er janvier 2019 et 100 autres points, à compter du 1er janvier 2021. Copyright Malijet © 2008 - 2020. Lorsqu’on créé des partis politiques ou des associations, on doit en assumer le fonctionnement. Déjà, tout le monde dénonce le niveau de certains cadres maliens, dans tous les domaines.
Si la responsabilité de la baisse du niveau des élèves maliens est partagée entre les acteurs de l’école, notamment les autorités, les enseignants et les élèves eux-mêmes, la démission des parents d’élèves de leur rôle de suivi est également souvent pointée du doigt.« L’enseignement ne devrait pas se limiter aux salles de classes…», souligne Mohamed Doumbia, un parent d’élève.Un constat partagé par Ali Bah, enseignant, selon lequel certains parents d’élèves ont carrément abandonné leurs enfants.« Un parent d’élève peut passer une année pleine sans mettre un pied dans l’école de son enfant pour s’enquérir de sa situation scolaire. L’Etat n'est à aucun cas responsable de ces échecs-là, la responsabilité elle est partagée entre les parents d’élèves, les enseignants et les élèves, nous sommes tous responsable de la situation de l'école malienne aujourd’hui Mais au Mali, les partis politiques pullulent à cause des financements de l’Etat malien. Moi je pense que le chaos de l’école malienne n’arrange personne surtout les pauvres qui n’ont pas les moyens d’envoyer leurs enfants dans les écoles privés ou les envoyer à l’étrangers pour étudier alors je lance un appel aux autorités et aux enseignants que chacun sache que le développement d’un ETAT repose sur son éducation. Que Dieu nous en garde !

Au regard de ce risque d’année blanche, une question court sur toutes les lèves comme depuis belle lurette à savoir ‘Pour nous, le problème ne doit pas être de sauver l’année scolaire mais bien plutôt l’école malienne en proie aux turpitudes politiciennes et aux averses du FMI et de la Banque mondiale afin qu’enfin l’école revienne à l’école et que la politique la laisse tranquille. Les enseignants aussi doivent faire d'effort, d'autant plus qu'ils bénéficient du statut particulier en plus les grilles ont été augmentés pour eux et bcp d'autre choses sans parler des primes qui les ont été accordés. L’avantage de cette mesure est de contribuer efficacement à la lutte véritable contre la corruption et la délinquance financière qui rongent dangereusement les fondements de la République et donc de notre système éducatif national.Où trouver les fonds pour venir à bout de la crise endémique de l’école malienne ? Rien, tout le long de 2013 à aujourd’hui, n’a été à la hauteur de redonner à l’école malienne ses lettres de noblesse perdues. L’école malienne se meurt. En effet, l’Etat fait preuve non seulement d’un manque o d’imagination, mais de solution pour gérer la crise.D’autre part, l’État n’a jamais donné l’impression de posséder des capacités de gestion prévisionnelle de la crise. Nommé ministre de l’éducation nationale à la suite de Housseyni Amion Guindo, le Professeur Abino Témé peine à remettre l’école malienne en route. Ce 23 mai, à l’école Bahaben Santara à Djélibougou-Korofina, elle animera un débat sur le rôle des comités de gestion scolaire (CGS). Si l’année blanche venait à être décrétée, il n’y aurait pas lieu de s’étonner, le collectif des syndicats de l’éducation signataires du 15 Octobre 2016 observe  une nouvelle grève depuis  février.