Le NSS semble avoir le bras long. Parallèlement, des agents du Service national de sûreté (NSS) Le 7 mai, le ministre sud-soudanais de l’information, Michael Makuei Lueth, n’a pas mâché ses mots au micro de la station Radio Tamazuj. Elle s’inscrit dans un contexte actuel particulier : les destitutions d’La protestation pacifique qui était prévue le 16 mai n’a pas eu lieu à Djouba. News • Politics. « Le peuple veut la chute du régime », « A bas le gouvernement des voleurs », pouvait-on par exemple également entendre dans la rue.« Cette révolte est aussi le signe de l'arrivée à l'âge adulte d'une jeunesse qui n'a connu que ce régime », indique le chercheur.C'est très probable, car les manifestants demandent le départ de tout le « système », et pas seulement d'Omar el-Béchir. Durant les semaines qui l’ont précédée, les autorités sud-soudanaises ont renforcé la présence militaire dans la capitale et fermé les lieux publics. Comment ont été définies les zones où le port du masque est obligatoire ? With bodies floating in the river Nile and brutal violence, experts believe Sudan could be the next Syria. Le 11 avril, l'armée annonce une déclaration à venir [12]. Le président soudanais Omar el-Béchir Depuis son accession au pouvoir par un coup d'Etat en 1989, le dirigeant gouvernait La colère de la population est née du triplement du prix de la farine, et donc du pain, fin décembre.
Pour tenter d'apaiser la situation, le NISS a annoncé la libération de tous les prisonniers politiques.Quant au nouveau pouvoir militaire, il a assuré ce vendredi qu'il allait dialoguer avec toutes les « entités politiques », promettant aussi que le futur gouvernement sera « un gouvernement civil ».Il a été placé « en détention dans un lieu sûr », à en croire Ahmed Benawf, président du tout nouveau Conseil militaire de transition. Non, «Libération» n'a pas annoncé une chute grave de Jean-Marie Le Pen Covid-19 : des enfants soupçonnés d'être porteurs du virus sont-ils séparés de leurs familles en Allemagne ? « Ils ont besoin qu'il y ait de la stabilité dans la région donc ils doivent la contrôler, d'autant qu'ils sont en compétition avec les Chinois sur le continent africain », estime-t-il.Une session d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU sur le Soudan a été demandée par six pays, dont la France et les Etats-Unis, et elle pourrait avoir lieu ce vendredi.Votre adresse mail est collectée par Le Parisien pour vous permettre de recevoir nos actualités et offres commerciales. Ce militaire, arrivé à la tête du pays avec le coup d’Etat de 1989, est sous le coup depuis 2009 d’un mandat d’arrêt international lancé par le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité, crimes de guerre, et génocide au Darfour. Le Darfour, région du Soudan, est le théâtre d’un conflit sanglant depuis 2003, qui perdure à ce jour. On louait sa modernité et son intelligence au point de la présenter comme l’incarnation de la femme orientale occidentalisée. Socialistes-écolos : la déflagration Girard au-delà de la mairie de Paris EE-LV : Haro sur les nouveaux hérauts de la gauche 2022 : «L’écologie doit avoir sa candidature avant janvier» Le masque devient obligatoire dans l'ensemble de la ville de Toulouse «La peur, c’est le meilleur moyen pour Loukachenko de nous contrôler» Biélorussie : l’Europe s’en mêle, la Russie se fait discrète Danièle Voldman «Paul-Suzanne Grappe incarne la transformation des rôles féminins et masculins durant les Années folles» Non, les ONG françaises ne représentent pas l'Etat français «On s’est retrouvés face à la mort dans nos serres» : une exploitation bio vandalisée avec du glyphosate Pollution : au bord de l’Aisne, «tout le monde est en colère contre Nestlé» Changement climatique : comment les vignobles français préparent l'horizon 2050 Ouragans : va-t-on manquer de lettres pour les nommer cette année ? Des milliers de manifestants se sont d'ailleurs réunis jeudi soir devant le QG de l'armée à Khartoum, la capitale, bravant le couvre-feu imposé par les militaires.Dans leur viseur figurent notamment les membres des puissants services de renseignement (NISS), qui sont restés en place malgré le départ d'el-Béchir. Nous republions à cette occasion une interview que cette opposante à Viktor Orbán avait accordée à «Libération» en novembre dernier.Au festival avant-gardiste de Marseille, où foisonnent les découvertes, l’Espagnol Carlos Casas présente «Cemetery», une rêverie en apesanteur sur les éléphants dans une Asie dévastée.L’actu