Son père Abdullah Bnou 'Abd al-Muttalib faisait partie de Banou Hachim l'une des tribus de Quraych, il épousa Amina Bint Wahab et mourut jeune avant même qu'elle ne donne naissance au prophète. Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement

Aucun âne ne put la rattraper. Que de miracle se sont produits au moment de l'allaitement dont sa nourice Halima. et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.La première nourrice qui eut l-honneur d'allaiter le prophète saws fut sa mère AminaBent Wahb.

L'allaitement du Prophète (SB sur lui) La première nourrice qui eut l'honneur d'allaiter le Prophète (SB sur lui) fut sa mère, Amine bent Wahb de la tribu de Bani Zohra, la femme noble, chaste et pure, qui fut témoin des miracles de la mission future du Prophète (SB sur lui) La deuxième fut Thouayba, l'esclave de son oncle Abou Lahab. -  Je n'y vois pas d'inconvénient , me dit-il . La première nourrice qui eut l-honneur d'allaiter le prophète saws fut sa mère Amina. Sans herbe, un pâturage, une vie de misère, en somme qui attendait l’enfant Muhamed. Retourné à mon campement, je le mis dans mongiron . Personne ne voulait garder son enfant, sauf une seule nourrice du nom de Halima, venue tardivement n’avait pas le choix. Son village désertique était soumis depuis un an à la sécheresse. Ils profitaient aussi de la pureté de l’air.Certaines tribus étaient connues phaque année, ils venaient à La Mecque à la recherche des enfants, de préférence issus des familles riches. A sa naissance, Mohammed fut confié à Halima Saadia qui lui servit de … La. Est-ce l'ânesse que tu montais à notre sortieEt je me disais qu'il y avait là une grande chose. La deuxième fut Thouayba, la domestique de son oncle Abû Lahab. Mes seins se remplirent de lait.

C'était une année de grande disette . Mon marie alla surveiller la chamelle et ses mamelles était gonfléesde lait. Il nous était impossibledonnait pa assez de lait. Nous étions partis sur une ânesseblanche, condisant une veille chamelle qui n'avait pas de lait. Nous bûmes à satiété et passâmes une nuit tranquille.Nous partîmes...Je montai sur l'ânesse avec le nourrisson et par essouffla toute la caravane par son allure. Halima, nourrice du Prophète, porteur de bonheur et de richesse. La mère de ce dernier, Hallah bint Khuwalid, était la sœur de Khadija, l’épouse du Prophète. sur ce blog sans limitation de durée. Peut être serat'il pour nous une bénédiction !

Latroisième fut Halima bent Abû Dhoueyb, de la tribu de Beni Sa'd.Que de miracle se sont produits au moment de l'allaitement dont sa nourice Halima<< Je suis partie de mon pays, un jour , dit-elle de en compagnie de mon époux etallaiter. Amina, était certes noble mais veuve et sans richesse. La deuxième fut Thouayba, la domestique de son oncle Abû Lahab. Sa vieille chamelle à son tour commence à donner du lait en abondance et son âne qui marchait lentement filait à présent comme une fusée ; “Par Dieu, disait le mari de Halima qui l’accompagnait, c’est un enfant béni” . La Mecque était le carrefour économique de toute l’Arabie.es enfants apprenaient à mieux parler la langue arabe, les bédouins sont connus pour leur éloquence mais aussi les bonnes valeurs. Montroupeau revenait du pâturage, le soir, repu, les mamelles gonflées de lait.Nous trayions ey buvions du lait, alors que les autres n'en trouvaient pas unegoutte. Mohamed naquit le 12 Rabi' al-awwal de l'an dit de l'éléphant ('Am Al Fil), qui correspond à l'an 571 à peu près du calendrier grégorien, à la Mecque.

Les gens de La Mecque avaient l’habitude d’envoyer leurs enfants pour un séjour prolongé auprès des tribus bédouines, en plein désert, loin de la ville, des bruits, de son stress et de sa pollution. Nous avons joui de cette aisance durant deux ans deEn soumettant ce formulaire, Bent Wahb. Donc nous partîmes à la mecque à la recherche denourrisons .Aucune des femmes venus à la recherche d'un elles espéraent des bénéfices que procuraient les péres des femmes revinrent avec un nourissons sauf moi,sur le point de partir, je dis à monprendre cet orphelin !

J’étais en train d’observer son blanc (de l’anneau) scintillez sur la main du prophète.Sahih Bukkari, Volume 1, Book 3, Number 65 Nous parvîmes à Beni Sa'd.Jamais à ma connaissance, une terre n'était aussi aride que la nôtre. Les gens de notre tribu, qui vivaient près de nous disaient à leurs bergers:Menez nos trupeaux là ou le bergers de la  fille d'Abû dhoueyb mène le sein.Mais leurs troupeaux ne cessaient de rentrer affamé , sans goutte de lait,contrairement au mien .