L’appel d’Aurélien Barrau et son plaidoyer pour plus encore d’embrigadement étatique sont également très bien anticipés, parfaitement même, dans le livre "Catastrophisme, administration du désastre et soumission durable" de René Riesel et Jaime Semprun.)

A une époque où progrès et recul n’ont plus qu’une signification militaire, leur tracé répond à notre besoin de clarté. Un élan vers le pire. Partout la même obsession de vaincre rassemble toutes les forces dans un Déconstruire la métropole (...et débrancher la « smart city » !) Dans une société dépendante de la voiture, l’accès est contrôlé en limitant et en contrôlant la capacité de se garer. parfois, il me semble qu’il se complaît dans ce qui ressemble tout de même à du jargon oui ça me fait souvent cette impression dans ses textes, c’est un peu pénible mais pour le reste sa réflexion est tellement intéressante qu’on lui pardonne Ce n’est pas de la Nature avec un grand N qu’il s’agit, cette dame est très recommandable et bien des professeurs lui font la cour. Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : A young man of Wallisian origin in New Caledonia defies his father to go and play rugby in France. Thriller Les risques de ruine et de mort qui n’intéressaient qu’un petit nombre d’hommes concernent maintenant toute l’humanité. Une prospective sans illusion peut mener à penser que le virage écologique ne sera pas le fait d’une opposition dépourvue de moyens, mais de la bourgeoisie dirigeante, le jour où elle ne pourra plus faire autrement. Ces déclarations sont enregistrées dans des bases de données de l’administration. [...] Si la crise énergétique se développe, la pénurie peut paradoxalement pousser au développement. On ne décide plus de nos conditions de vie (là où on habite, comment on travaille, comment on vit avec nos voisins, etc.).

Dans le même temps, je trouve ce positionnement très « grand sage qui se pense au-dessus des contingences de la vie occidentale » alors qu’il est écrit par une personne qui vit en plein dedans. Ces pratiques pacifistes portent en leur sein le souci de donner aux médias qui la relaient une « bonne image » de la lutte, mélangé de considération morale quant à l’usage de la violence. Peut-être y ajouter un lien vers le dit appel, non ? Jadis, inspirés par le rapport Meadows ou les écrits de Bernard Charbonneau, René Dumont et André Gorz, nous connaissions déjà les principales causes de la dégradation de la vie sur Terre et aurions pu, dès cette époque et à l’échelle internationale, réorienter les politiques publiques vers la soutenabilité. Ce « Green New Deal » génère une prolifération de règles incitatives et répressives, accompagnées d’une perpétuelle campagne médiatique, civique, « participative », en faveur des « bonnes pratiques » et des dispositifs « intelligents » (poubelles pucées, compteurs « Linky », labels verts). De toute façon, je ne pense pas qu’il soit possible de battre l’Etat sur son propre terrain. Tandis que la La guerre moderne englobe le monde. Ellul et Charbonneau appartenaient tous deux au courant personnaliste chrétien dont Emmanuel Mounier, le représentant le plus connu, et plusieurs de ses disciples, fréquentèrent l’Ecole des cadres d’Uriage sous... Pétain. Le stationnement public est toujours limité et souvent pas disponible, et le stationnement semi-public — dans les magasins, les centres commerciaux, les parcs de bureaux et autres institutions privées — est limité à ceux qui ont de l’argent à dépenser ou à ceux qui ont là des transactions commerciales d’une autre manière. Nous vivons dans une société en état de paix ; c’est à dire où la violence emprunte des voies tellement détournées qu’elle parvient à ne plus être identifiée sous ce nom, et que l’emploi de sa forme la plus brute et matérielle – caillou & flashball – nous terrifie. In the near future, a French submarine finds itself in a crisis situation. Du point de vue de la culture dominante, qui détruit les biomes et les espèces du monde entier pour satisfaire sa frénésie de croissance et de progrès, cette perspective est logique. A Sivens on s’enterre, on « prend racine » pour barrer le chemin aux machines ; on replante, dans la forêt changée en lit de copeaux, de jeunes arbrisseaux. À Champigny-sur-Marne, le Bois-l’Abbé va vivre pendant cinq semaines au rythme du tournage de « Banlieusards ».

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