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L’avortement est la méthode de planification familiale par excellence, affirment les chercheures. Voilà pourquoi le Centre de recherches pour le développement international (CRDI) a entrepris, par l’entremise de son programme Droits des femmes et participation citoyenne (DFPC) et en collaboration avec ActionAid India, une organisation non gouverne… Dans plusieurs régions, les mariages entre personnes de castes différentes, ou avec des filles de groupes tribaux, et la polyandrie sont aujourd’hui plus courants.On a aussi fait état de l’achat d’épouses et du remariage forcé de veuves. Equipées de photos de leur progéniture et d’une liste de critères physiques et moraux, elles tentent de séduire, à la sauvette, la famille d’une éventuelle future belle-fille venue en « repérage de gendre ». Soyez prévenu par email des prochaines mises à jourPour être tenu au courant des futures mises à jour du blog et y participer, inscrivez-vous:
En milieu urbain dans le district de Morena, au Madhya Pradesh, un répondant a précisé que l’âge moyen au mariage était désormais de 20 ans chez les garçons et de 17 ou 18 ans chez les filles, alors qu’avant, il était de 14 ans chez les deux sexes.Cela a amené les chercheures à se demander si la hausse de l’âge au mariage pouvait être attribuable au fait qu’il est plus difficile de trouver la femme qui convient dans un contexte où des facteurs comme l’instruction, la capacité de gagner sa vie et la dot à verser font monter les enjeux pour ceux qui veulent former un couple idéal.D’autre part, les chercheures indiquent que le célibat des femmes est perçu comme une « aberration totale ». Aujourd’hui, le paiement d’une dot est une pratique en vigueur dans la plupart des castes, sauf dans certains groupes tribaux.Selon une mère dhobi (caste inférieure), la dot, c’est un peu comme une punition : on la verse pour la sécurité et la prospérité de sa fille, mais, en fait, c’est le destin qui décidera si sa vie sera heureuse ou non. Or, l’urgence d’avoir un fils se manifeste d’une manière plus évidente et plus fréquente en milieu urbain qu’en milieu rural, ajoutent les chercheures.Ces dernières ont aussi constaté que des personnes de la génération plus âgée qualifiaient les enfants de dons de la nature ou du ciel et considéraient l’élimination d’un seul d’entre eux comme un péché. Or, à elles deux, elles représentent 38 % de la population mondiale et le tiers des naissances. Le taux de morbidité étant plus élevé dans ces deux États, les chercheures ont conclu que les ratios défavorables ne pouvaient être causés uniquement par les avortements sélectifs. Et les accidents et les mortinaissances viennent accroître le taux de mortalité.
Elle permet de limiter la taille de la famille, d’espacer les grossesses et de choisir le sexe des enfants.Même si l’avortement sélectif est illégal en Inde, cette pratique fait rarement l’objet de poursuites.

À long terme, elles recommandent de faire en sorte que les femmes aient les mêmes droits que les hommes, dont le droit à la propriété et l’égalité d’accès à la nourriture, aux services de santé, à l’éducation et à l’affection, et aussi de régler les problèmes liés à la dot et à la nécessité de se marier. Si les chercheures ont constaté que le niveau de discrimination variait d’un endroit à l’autre, elles ont également réuni nombre de preuves indiquant que les filles sont moins bien traitées que les garçons sur les plans alimentaire, médical, scolaire et affectif et qu’elles sont largement sous-vaccinées, en général. L'une des causes de la Polygamie dans l'Inde brahmanique fut certainement le souci d'avoir au moins un fils vivant au jour des funérailles du père, et le taux de mortalité infantile était tel qu'une précaution élémentaire commandait de multiplier au maximum le nombre des enfants et donc des épouses susceptibles d'en donner...""Seule l'épouse légitime (première ou seconde) qui avait mis au monde des mâles vivants méritait le titre de mère. ", Rivon Krygier in La Loi juive à l'aube du Avant l'arrivée de l’islam, les Arabes idolâtres regardaient la naissance des filles comme un malheur, et souvent s’en débarrassaient en les enterrant vivantes. Les femmes qui connaissent le mieux la position officielle à cet égard – celles de la classe moyenne urbaine – ont nié, en général, y avoir eu recours.