Après une formation de six mois, il obtient le grade de caporal et se fait muter à la 4e Région militaire, plus précisément à Laghouat. En 2001, lors d’une embuscade qui a fait 12 morts parmi les militaires, et la destruction d’un hélicoptère, il est blessé et encerclé durant trois jours. 09/01/13. Am gleichen Tag reiste der damalige deutsche Außenminister Jürgen Chrobog reiste nach Algier, um die befreiten Deutschen abzuholen. Quelques jours plus tard, des hommes de Hassan le désarment, lui mettent des menottes et procèdent à son arrestation. Il est formel.L’assassinat du chanteur Matoub Lounès est l’œuvre de Hassan Hattab. La libération du sénateur Bediar a coûté 30 millions de dinars La première prise d’otage a été celle qui a ciblé le sénateur Mohamed Bediar, en 2003 sur la route reliant Tébessa à la Tunisie.Le sénateur était accompagné de deux autres personnes. Abderrazak El Para rallie au GSPC les zones 5 et 4, ainsi que celle du Sud, dirigée alors par Belmokhtar.En 2000, il rencontre un Afghan yéménite en compagnie de Belmokhtar. Soudeur de métier, il rejoint l’Armée nationale populaire en 1985 et signe un contrat de 4 ans au sein des forces spéciales. Abderazak el Para, de son vrai nom Amari Saïfi, également surnommé Abou Haydara, est né le 23 avril 1966 à Guelma en Algérie. Il était aux côtés de Hakim, Toufik et Zoheir. Informations sur la situation des droits humains en Algérie Révélations sur l’itinéraire d’un chef terroriste Arrêté au mois de mars dernier, Abderrazak El Para, de son vrai nom Amari Saïfi, né en avril 1966 à Guelma, est actuellement en prison.
Sur son chemin, il rencontre plusieurs groupes de touristes étrangers en bivouac entre Djanet et Tamarasset. 18 mars 2008. August berichtete eine algerische Zeitung, dass sechs der gefangenen Personen krank seien und medizinische Hilfe benötigen würden, die Entführer jedoch eine Freilassung abgelehnt hätten.Chrobog reiste erneut am 14. L’objectif est de faire la propagande au profit du mouvement. Deutsche Die militärische Suchkaravanne wurde bis zum 7. La même date où Hassan Hattab est évincé de son poste, pour être remplacé par Nabil Sahraoui. Il se déplace au quartier Benzerga, à l’est d’Alger, pour voir son ami Hassan Hattab, qui était déjà en activité dans les maquis du GIA.Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.
Il a revendiqué l’attentat, mais la réaction de la population lui a fait peur au point d’être allé voir la mère de Matoub, pour lui dire que le GSPC n’avait rien à voir avec le crime.C’est ce qui l’a poussé à rendre public un autre communiqué, qui a suscité la colère au sein de son organisation. Laut Angabe der ehemaligen Geisel Rainer Bracht wurden von den im Mai befreiten Geiseln jeweils 1092 Euro und von jedem der im August befreiten 2301 Euro verlangt. Parmi ces derniers, Brahim Bahanga, leader de la rébellion malienne, qui lui promet de rejoindre Kidal après une halte à Agadez au Niger. Il rejoint les rangs du parti dissous à Guelma. Für Deutschland gilt der Vorfall als die bis dahin längste Entführung in der Geschichte der Bundesrepublik. Il est maintenu en détention (jusqu’en 2007). Abderrazak est pris à part. Für den Rücktransport wurde bereits Wochen zuvor ein Sanitätsairbus der Bundeswehr (siehe Nachdem die erste Gruppe der Geiseln befreit worden war, verließ die andere Entführergruppe mit ihren Geiseln das Gebirge und war mehrere Tage und Nächte lang Richtung Osten unterwegs. L’officier encaisse, mais le dispositif reste en place. Abderrezak décide de libérer ces deux dernières, d’enlever le sénateur et de réclamer une rançon de 3 milliards (30 millions de dinars) de centimes à sa famille, dont deux milliards en devises. Il passe d’une caserne à une autre jusqu’à ce qu’il soit remis à l’Algérie. La contrepartie, c’est de laisser venir une équipe de télévision française le filmer, les mains menottées.
El Para n’en a cure.
En 1987, il s'engage dans les troupes aéroportées (d'où son surnom d'el Para) de Il est donné pour avoir été « membre de la direction du Le rôle d'Abderrezak El Para n'a jamais été précisé au sein du GSPC jusqu'à son départ de la « base principale » de l'organisation (Sidi Ali Bounab) vers la « zone V », à la fin de l'année El Para a toujours été jugé par contumace, malgré sa détention en Algérie, « car les procédures judiciaires engagées dans le cadre de cette affaire ont débuté avant qu’’El Para’ ne soit remis aux autorités algériennes et, donc, considéré comme étant en fuite »Une enquête de Salima Mellah et Jean-Baptiste Rivoire Après 26 jours, l’otage est libéré. Il refuse. Il réussit à s’échapper pour rejoindre son fief, Djebel Labiod à Tébessa.Au début de 2002, Abderrazak arrive au nord du Mali, où il est pris en charge par Hassan Alam (abattu), un terroriste du GIA, installé dans la région du Sahara, qui connaît parfaitement le terrain où il a tissé des relations avec les chefs de tribus, aussi bien Touareg que Brébiches (arabes).Accompagné d’Abou Zeid et d’une vingtaine de terroristes, il se dirige vers le Tassili. è La biographie d'Abderrezak El Para.. Appelé aussi Amari Saïfi, il est né dans l'est algérien et est âgé d'environ trente cinq ans.On s'accorde pour faire remonter sa désertion de l'armée algérienne à 1991. En fait, l’idée de dresser des faux barrages pour «racketter» les gens et d’enlever des personnalités pour les rançonner a été retenue après cette opération. Discussion:Abderazak el Para. Die algerische Regierung hatte zunächst erklärt, die Geiselnehmer nicht verfolgen zu wollen.Die Höhe des vereinbarten Lösegelds wird von der deutschen Bundesregierung geheim gehalten. Commentaires récents. Quatre mois plus tard, son contrat avec l’armée prend fin. La presse algérienne affirme qu'il a appartenu à la direction du GIA (Groupes islamiques armés) sous Zitouni et qu'il rejoint Hassan Hattab en 1996. Durant cette période, il veut à tout prix revenir au Mali. Entre-temps, l’officier tchadien arrive à réconcilier le chef des rebelles avec Abderrazak, qui revient à son campement.
Sur son chemin, il rencontre plusieurs groupes de touristes étrangers en bivouac entre Djanet et Tamarasset. 18 mars 2008. August berichtete eine algerische Zeitung, dass sechs der gefangenen Personen krank seien und medizinische Hilfe benötigen würden, die Entführer jedoch eine Freilassung abgelehnt hätten.Chrobog reiste erneut am 14. L’objectif est de faire la propagande au profit du mouvement. Deutsche Die militärische Suchkaravanne wurde bis zum 7. La même date où Hassan Hattab est évincé de son poste, pour être remplacé par Nabil Sahraoui. Il se déplace au quartier Benzerga, à l’est d’Alger, pour voir son ami Hassan Hattab, qui était déjà en activité dans les maquis du GIA.Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.
Il a revendiqué l’attentat, mais la réaction de la population lui a fait peur au point d’être allé voir la mère de Matoub, pour lui dire que le GSPC n’avait rien à voir avec le crime.C’est ce qui l’a poussé à rendre public un autre communiqué, qui a suscité la colère au sein de son organisation. Laut Angabe der ehemaligen Geisel Rainer Bracht wurden von den im Mai befreiten Geiseln jeweils 1092 Euro und von jedem der im August befreiten 2301 Euro verlangt. Parmi ces derniers, Brahim Bahanga, leader de la rébellion malienne, qui lui promet de rejoindre Kidal après une halte à Agadez au Niger. Il rejoint les rangs du parti dissous à Guelma. Für Deutschland gilt der Vorfall als die bis dahin längste Entführung in der Geschichte der Bundesrepublik. Il est maintenu en détention (jusqu’en 2007). Abderrazak est pris à part. Für den Rücktransport wurde bereits Wochen zuvor ein Sanitätsairbus der Bundeswehr (siehe Nachdem die erste Gruppe der Geiseln befreit worden war, verließ die andere Entführergruppe mit ihren Geiseln das Gebirge und war mehrere Tage und Nächte lang Richtung Osten unterwegs. L’officier encaisse, mais le dispositif reste en place. Abderrezak décide de libérer ces deux dernières, d’enlever le sénateur et de réclamer une rançon de 3 milliards (30 millions de dinars) de centimes à sa famille, dont deux milliards en devises. Il passe d’une caserne à une autre jusqu’à ce qu’il soit remis à l’Algérie. La contrepartie, c’est de laisser venir une équipe de télévision française le filmer, les mains menottées.
El Para n’en a cure.
En 1987, il s'engage dans les troupes aéroportées (d'où son surnom d'el Para) de Il est donné pour avoir été « membre de la direction du Le rôle d'Abderrezak El Para n'a jamais été précisé au sein du GSPC jusqu'à son départ de la « base principale » de l'organisation (Sidi Ali Bounab) vers la « zone V », à la fin de l'année El Para a toujours été jugé par contumace, malgré sa détention en Algérie, « car les procédures judiciaires engagées dans le cadre de cette affaire ont débuté avant qu’’El Para’ ne soit remis aux autorités algériennes et, donc,