Pour sauvegarder cette article et le retrouver facilement, vous devez vous connecter « Nous sommes en guerre. vendredi 10 avril 2020 à 10h39 Après avoir convoqué un premier Conseil européen par visioconférence la semaine dernière, Emmanuel Macron doit de nouveau s’entretenir avec ses homologues mardi.Au-delà de l’Europe, le président de la République essaye aussi de mobiliser les pays du G7. La prochaine réunion est prévue en juin aux États-Unis mais Emmanuel Macron a appelé Donald Trump à deux reprises pour lui demander d’organiser une réunion par visioconférence afin de coordonner la réponse mondiale au coronavirus. Doit-on comprendre qu'il restera possible aux 'migrants' de continuer à s'introduire sans réelle opposition dans nos frontières?Emmanuel Macron s’adresse aux Français, lundi soir, depuis l’Élysée. Vendredi, le premier ministre interdisait les rassemblements de plus de cent personnes. «Du côté des armées, on se tient d’ailleurs prêt à toute éventualité.
La pharmacie militaire est mise à contribution pour fabriquer des gels désinfectants.Mais le recours à l’armée ne sera décidé que si le chef de l’État estime qu’il s’agit là du seul moyen de protéger la santé des Français. Cette fois, c’est le confinement. Sauvegarder cet article pour le lire plus tard Vous avez 1 article à lire
Le recours aux forces militaires pour faire respecter les mesures de confinement est sur toutes les lèvres et dans tous les esprits. «Parallèlement à la gestion de la crise sur le sol national, le chef de l’État tente aussi de mobiliser ses homologues internationaux, à commencer par les Européens. Depuis l'annonce du confinement le 17 mars dernier, le chef de l'Etat n'est pas épargné par la critique. Samedi soir, il annonçait la fermeture des commerces non essentiels. La France risque de se réveiller demain en comprenant qu’elle était elle-même la cible de la guerre proclamée par M. Macron.
Le chef de l’État a annoncé une restriction de tous les déplacements en France pour au moins quinze jours.
Macron déclare la «guerre» au coronavirus Le chef de l’État a annoncé une restriction de tous les déplacements en France pour au moins quinze jours. - Mis à jour le vendredi 10 avril 2020 à 12h19
Il faut vraiment ne pas avoir connu la guerre pour dire une imbécilité pareille ! Nous sommes en guerre, en guerre sanitaire certes. Nous ne luttons ni contre une armée ni contre une autre nation, mais l’ennemi est là, invisible, insaisissable, et qui progresse.
Face à l’inconscience de ceux qui s’entassaient encore dimanche dans les parcs et les marchés, Emmanuel Macron a donc choisi la manière forte. N'importe quoi ! » A six reprises, Emmanuel Macron a utilisé la même expression. Le comportement de certains Français n’est pas étranger à ce durcissement des mesures de lutte contre le coronavirus. Le second tour des municipales est reporté.La France bascule dans le scénario à l’italienne, celui qu’Emmanuel Macron et son gouvernement s’efforcent d’éviter depuis le début de la crise du coronavirus. Le président de la République s’apprête à engager la même démarche avec les pays du G20.En guerre ? Emmanuel Macron pas épargné par un fidèle : « Dire qu’on est en guerre et faire des selfies, c’est très curieux » Problème de communication !J'observe une troublante ambiguïté sur la fermeture des frontières françaises. En Espagne, par exemple, l’armée est mobilisée depuis dimanche soir pour faire respecter les zones de confinement.
La pharmacie militaire est mise à contribution pour fabriquer des gels désinfectants.Mais le recours à l’armée ne sera décidé que si le chef de l’État estime qu’il s’agit là du seul moyen de protéger la santé des Français. Cette fois, c’est le confinement. Sauvegarder cet article pour le lire plus tard Vous avez 1 article à lire
Le recours aux forces militaires pour faire respecter les mesures de confinement est sur toutes les lèvres et dans tous les esprits. «Parallèlement à la gestion de la crise sur le sol national, le chef de l’État tente aussi de mobiliser ses homologues internationaux, à commencer par les Européens. Depuis l'annonce du confinement le 17 mars dernier, le chef de l'Etat n'est pas épargné par la critique. Samedi soir, il annonçait la fermeture des commerces non essentiels. La France risque de se réveiller demain en comprenant qu’elle était elle-même la cible de la guerre proclamée par M. Macron.
Le chef de l’État a annoncé une restriction de tous les déplacements en France pour au moins quinze jours.
Macron déclare la «guerre» au coronavirus Le chef de l’État a annoncé une restriction de tous les déplacements en France pour au moins quinze jours. - Mis à jour le vendredi 10 avril 2020 à 12h19
Il faut vraiment ne pas avoir connu la guerre pour dire une imbécilité pareille ! Nous sommes en guerre, en guerre sanitaire certes. Nous ne luttons ni contre une armée ni contre une autre nation, mais l’ennemi est là, invisible, insaisissable, et qui progresse.
Face à l’inconscience de ceux qui s’entassaient encore dimanche dans les parcs et les marchés, Emmanuel Macron a donc choisi la manière forte. N'importe quoi ! » A six reprises, Emmanuel Macron a utilisé la même expression. Le comportement de certains Français n’est pas étranger à ce durcissement des mesures de lutte contre le coronavirus. Le second tour des municipales est reporté.La France bascule dans le scénario à l’italienne, celui qu’Emmanuel Macron et son gouvernement s’efforcent d’éviter depuis le début de la crise du coronavirus. Le président de la République s’apprête à engager la même démarche avec les pays du G20.En guerre ? Emmanuel Macron pas épargné par un fidèle : « Dire qu’on est en guerre et faire des selfies, c’est très curieux » Problème de communication !J'observe une troublante ambiguïté sur la fermeture des frontières françaises. En Espagne, par exemple, l’armée est mobilisée depuis dimanche soir pour faire respecter les zones de confinement.